Aurélie Guézo s’est présentée devant la Criet pour répondre aux accusations de cybercriminalité qui pèsent sur elle. Lors de l’audience, elle a exprimé ses regrets et présenté ses excuses en déclarant : « Mi kinklin, mi zé kèmi », ce qui signifie qu’elle reconnaît ses torts et demande pardon.
La jeune femme a également raconté sa version des faits. Selon elle, certaines actions qui lui sont reprochées résultaient de malentendus et d’erreurs qu’elle regrette profondément. Son discours devant la Criet montre sa volonté de coopérer avec la justice et de clarifier sa situation.
Les magistrats poursuivent l’examen du dossier pour déterminer les suites à donner à cette affaire. Cette audience a suscité beaucoup d’attention de la part du public et des médias, qui suivent de près l’évolution de ce dossier sensible lié à la cybercriminalité au Bénin.
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